L’Irak
Les Etats-Unis ont fait deux fois la guerre à l'Irak et ont tué Saddam Hussein. Ce qui a créé le désordre en Irak. Et, celà a créé DAESH. DAESH est la pire ignominie que j'ai vue. Les israéliens étaient des esclaves à Babylone. FERDI est un grand physicien. Les rebelles ont pris le pouvoir en Syrie et ont chassé Bachar Al Assad. Celà sent extrênement mauvais. BILLAL. Cette région du Moyen-Orient est le berceau de l'humanité. Barack OBAMA et Georges BUSH doivent mourir. Merci
Ecrit par gore, le 20/05/2025
L’éthique
L 'éthique ou philosophie morale, est une discipline philosophique portant sur les jugements moraux. Elle examine les questions normatives, concernant ce que les individus devraient faire, ainsi que les questions méta-éthiques sur la nature même de la moralité.
Depuis l'Antiquité, de nombreuses morales ont émergé, chacune prétendant être « la bonne », la philosophie morale s'est donc chargée de rechercher leurs légitimités ou leurs fondements. Les trois catégories de théories éthiques les plus connues sont :
L’éthique comprend plusieurs champs d'application tels que l'éthique normative qui s'intéresse principalement aux concepts du bien et du bon que véhiculent les théories de justice sociale et doctrines telles que l'utilitarisme, l'égalitarisme et le libertarisme. L’éthique appliquée s'intéresse ensuite à la mise en pratique des normes morales. L'éthique descriptive s'intéresse quant à elle à la description des croyances et des codes moraux dominants dans la société, et à leur dimension historique. Dans les pays laïcs, l'éthique est souvent influencée par la philosophie politique qui la sous tend, mais elle peut aussi être influencée par la culture, la religion, les croyances et les traditions d'un pays, d'un groupe social, ou d'un système idéologique. La méta-éthique s'intéresse pour sa part au sens même des concepts mobilisés par l'éthique, cherchant par exemple à déterminer si les énoncés moraux peuvent être objectivement vrais, ou si la connaissance morale est possible.
Nombre de philosophes ont développé des idées en philosophie morale, tels que Friedrich Nietzsche, Emmanuel Kant, Jeremy Bentham, Épicure, Platon, ou Baruch Spinoza. Pour des philosophes tels qu'Aristote ou Kant, l'éthique a pour but de définir ce qui doit être. L'éthique exprime des énoncés normatifs, prescriptifs ou encore évaluatifs comme les impératifs catégoriques. En absence de norme éthique, un jugement moral relève d'une faute de logique nommée paralogisme naturaliste.
L'éthique influence à la fois le domaine social, en participant à l'élaboration des normes et des lois, et le domaine personnel, en guidant la réflexion sur les limites et les devoirs individuels. Au sein d'une société mondialisée et cosmopolite dans laquelle cohabitent de nombreuses éthiques différentes, la démarche contemporaine de l'éthique consiste selon John Rawls à rechercher un équilibre réfléchi.
La connaissance de Dieu est la plus importante.
Ecrit par gore, le 16/05/2025
Les premiers chrétiens
Si le motif anti-chrétien de la persécution de Dèce (249-251) est aujourd'hui largement contesté, il en va autrement de la persécution de Valérien (257-259) durant laquelle le christianisme connaît pour la première fois de son existence une persécutions généralisée, bien qu'elle soit de courte durée et d'une efficacité relative. En 260, à la mort de son père et co-empereur Valérien, Gallien fait cesser la persécution générale en cours et promulgue un édit de tolérance qui constitue la première légitimation officielle du christianisme par les autorités romaines. Cette décision inaugure pour les chrétiens une période de coexistence pacifique avec l'État romain qui, retenue sous le nom de « petite paix de l'Église », dure une quarantaine d'années au cours desquelles le christianisme connaît une augmentation significative de ses adeptes et un renforcement de sa présence à travers l'Empire[16].
Mais au début du IVe siècle, avec la Tétrarchie, la lutte des empereurs contre les chrétiens, en expansion mais encore très minoritaires, reprend et donne lieu à une dernière persécution généralisée. En 303, Dioclétien et ses collègues lancent plusieurs édits contre les chrétiens : c’est la « grande persécution ». Les gouverneurs et les magistrats municipaux doivent saisir et faire brûler le mobilier et les livres de culte. Au début de l’année 304, un édit ordonne à tous les citoyens de faire un sacrifice général pour l’Empire, sous peine de mort ou de condamnation aux travaux forcés dans les mines. La persécution est très inégalement appliquée sur l’Empire, assez vite abandonnée en Occident après 305, plus longue et sévère en Orient. En 311, juste avant sa mort, Galère décrète l’arrêt de la persécution, et, selon le polémiste chrétien Lactance, demande aux chrétiens de prier pour son salut et celui de l’Empire. Cet appel est dans le droit fil de la tradition religieuse romaine, qui se soucie surtout d’utilité civique et finit par admettre celle des chrétiens.
Une des conséquences de la « grande persécution » pour le monde chrétien est la division de la chrétienté entre donatistes et orthodoxes à partir de 307. Les donatistes refusent la validité des sacrements délivrés par les évêques qui avaient failli lors des persécutions de Dioclétien, position condamnée en 313 au concile de Rome par les orthodoxes, qui considèrent le donatisme comme hérétique. Le schisme dure jusqu’à la fin du siècle en Afrique romaine.
La « grande persécution » marque plus que les autres la tradition chrétienne orientale : l’hagiographie positionne le martyre de saints d’existence légendaire pendant la persécution de Dioclétien et de ses successeurs. Une autre trace de l’impact significatif sur la mémoire chrétienne est le choix de l’ère copte ou « ère des Martyrs » qui débute avec l’avènement de Dioclétien.
Ecrit par gore, le 07/05/2025